Je me réveille seul à seulL’appli qui sonne et qui aboieMiroir sali, cheval de TroieToujours là à revoir les mêmes gueulesBabylone au bout des doigtsAmant vassal, beautés fatales
AttentatTracer les étreintes et les corpsLabyrinthe et MinotaureDe cinémaHurlant karaokétamineLe sang à feu térébenthine
M-Défoncé, je t’aime GHBDans ce narco-pensionnnatPalais papier, galet paraComa, pupilles sans éclatQuitte à niquer, moi j’étais piquéAh j’étais fou de 3Voile déchiré, shot réalitéVoile déchiré, shot réalitéEt ouais qu’est-ce que je fous làJe deviens fou
Leurs jambes plièrentet ils se retrouvèrent par terre à marcher sur les mains et sur les genoux,leurs bras se transformèrent en pattes,leurs visages s’allongèrent pour devenir museauxet leurs dos se couvrirent d’un pelage gris.Vaincus par la honte et la douleur,ils tentèrent, face à la cruauté de leur destin, de se plaindre et de gémir.Ce ne fut que des braiments d’âne.
Je deviens fou
J’marche dans les rues érodées par la nuitDésespoir solitude en recherche de vieDep sans famille, même pas celle qu’on choisitFoire trop rude, t’es trop prude et qui sont tes amisÀ force de nous dire qu’on est bons qu’à baiserÉpidémie chimique on est bons qu’à se droguerJ’suis qu’un buvard de mon époqueDe mercredi à dimancheOrphelinat pour tes potesSupercherie étancheCanapé lit défaitNéon vert d’hôpitalOverdose des effetsDans mon coeur en cristalY pas que les bons et les mauvais pédésOuvrons un peu les yeux parce qu’on nous laisse creverManque d’amour, solitude, ou par précaritéTellement peur du jugementQue j’ose même pas en parlerMarathon verticalAbandon colossalDans le fond ce que je voulaisC’était qu’on me trouve spécial
Paroles de Sébastien Delage et Antoine SabatierEt extrait de Les Aventures de Pinocchio de Carlo Collodi
AttentatTracer les étreintes et les corpsLabyrinthe et MinotaureDe cinémaHurlant karaokétamineLe sang à feu térébenthine
M-Défoncé, je t’aime GHBDans ce narco-pensionnnatPalais papier, galet paraComa, pupilles sans éclatQuitte à niquer, moi j’étais piquéAh j’étais fou de 3Voile déchiré, shot réalitéVoile déchiré, shot réalitéEt ouais qu’est-ce que je fous làJe deviens fou
Leurs jambes plièrentet ils se retrouvèrent par terre à marcher sur les mains et sur les genoux,leurs bras se transformèrent en pattes,leurs visages s’allongèrent pour devenir museauxet leurs dos se couvrirent d’un pelage gris.Vaincus par la honte et la douleur,ils tentèrent, face à la cruauté de leur destin, de se plaindre et de gémir.Ce ne fut que des braiments d’âne.
Je deviens fou
J’marche dans les rues érodées par la nuitDésespoir solitude en recherche de vieDep sans famille, même pas celle qu’on choisitFoire trop rude, t’es trop prude et qui sont tes amisÀ force de nous dire qu’on est bons qu’à baiserÉpidémie chimique on est bons qu’à se droguerJ’suis qu’un buvard de mon époqueDe mercredi à dimancheOrphelinat pour tes potesSupercherie étancheCanapé lit défaitNéon vert d’hôpitalOverdose des effetsDans mon coeur en cristalY pas que les bons et les mauvais pédésOuvrons un peu les yeux parce qu’on nous laisse creverManque d’amour, solitude, ou par précaritéTellement peur du jugementQue j’ose même pas en parlerMarathon verticalAbandon colossalDans le fond ce que je voulaisC’était qu’on me trouve spécial
Paroles de Sébastien Delage et Antoine SabatierEt extrait de Les Aventures de Pinocchio de Carlo Collodi